Paris, 1964, Alberto Giacometti, un des plus grands maîtres de l'art du XXème siècle, invite son ami, l’écrivain américain James Lord, à poser pour un portrait. Flatté et intrigué, James accepte. Cela ne devait prendre que quelques jours mais c'était sans compter sur le perfectionnisme et l'exigence du processus artistique de Giacometti…
"À l'instar de "Jackson Pollock" ou de "La Vie passionnée de Vincent van Gogh", "Final Portrait" fait partie de ces films rares qui considèrent les dilemmes de l'art attentivement." - Transfuge
Dimanche 17 février : 11h "My sweet pepper land" le très beau film d'Hiner Saleem, suivi d'un déjeuner. A 13h45 : Analyse du film par Alice Vincens, Docteur...