En 2008, vingt-cinq ans après sa création à Venise, Carolyn Carlson revisite ce même solo, qu’elle transmet au danseur finlandais Tero Saarinen, à nouveau sous l’œil d’André S. Labarthe. De ce mouvement de transfert vers un corps autre, jeune et masculin, le réalisateur épie toutes les traces, tout ce qui fait d’un danseur l’instrument d’une idée en même temps qu’un monde à part.
Suivant un procédé très « Labarthien », le réalisateur réutilise le matériel d’un de ses films précédents, en l’occurrence Solo, pour en créer un autre. L’occasion lui est offerte quand la chorégraphe Carolyn Carlson décide, 25 ans après sa création, de reprendre Blue Lady, en transmettant son travail à un jeune danseur, Tero Saarinen.
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